Il y a quelque chose d’unique et de précieux dans le courrier postal, un truc qui me plait profondément… Recevoir une lettre n’a rien de commun avec un e-mail. L’enveloppe légèrement froissée, les timbres estampillés, ces traces du voyage physique de l’objet : Tout est là, contenu, dés l’ouverture de la boîte aux lettres, on en est éclaboussé. Bien sûr, ça va plus loin, avec la découverte du message, manuscrit, connexion différée à son auteur. Parfois, en plus du texte, une image. Plus rarement, un dessin, une peinture, et pour la première fois, une linogravure ! Il y en a qui ont le partage généreux… Elice fait partie de ces gens rares et précieux.
Son volcan Bromo de l’île de Java, ou ce « quoll » (chat marsupial) sont comme des extraits concentrés d’un voyage qu’elle a souhaité partager.
Merci pour ce fabuleux courrier du bout du monde Elice ! 🙂
Rhooo dis-donc, heureusement que je suis derrière mon écran sinon on me verrait rougir. Tes jolis mots me touchent 🙂 Et oui, je crois que c’est important de partager. J’aime aussi la poésie des courriers qui voyagent, et qui nous font espérer qu’ils arriveront bien à destination, qu’ils ne se perdront pas. Bon, l’avantage c’est que tu connais le secret des lettres perdues, je ne me faisait pas de soucis, dans tous les cas. 😉